L'ours polaire

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Histoire des Chiricahuas (5e partie) : Dans un monde nouveau

Liberté

La disparition du vieux rebelle laissa en tout cas le champ libre à un éventuel retour des Chiricahuas dans le sud-ouest. En plus, l'école d'artillerie de Fort Sill devait expérimenter des canons à la portée de plus en plus longue et les Chiricahuas, leurs maisons, leurs champs et leurs bétails étaient en plein dans l'axe du champ de tir! Beaucoup de philanthropes clamaient qu'il n'y avait plus de raison de maintenir les Apaches en captivité depuis la mort de Géronimo. Vingt-sept ans de captivité, n'était-ce pas suffisant?

En 1912 furent créés les états de l'Arizona et du Nouveau Mexique. Le 24 août de la même année, le Congrès vota la libération des "prisonniers de guerre de Fort Sill". Il accorda généreusement 200000 dollars pour leur "relogement", laissant le soin aux Secrétaires à la Guerre et à celui de l'Intérieur le soin de trouver l'endroit convenable pour les Apaches. Ces derniers se débarrassèrent de cette "patate chaude" en laissant au commandant de Fort Sill, le lieutenant Purington, le soin de le trouver et de négocier avec les Chiricahuas.

Durant l'hiver 1912-1913, ce dernier convoqua un conseil des chefs de familles Chiricahuas. Il leur proposa soit de demeurer en Oklahoma, soit de regagner les secteurs encore libre de tout occupants sur leur ancienne réserve d'Ojo Caliente au Nouveau Mexique, ou encore d'aller vivre sur la réserve des Mescaleros avec lesquels ils avaient d'excellents rapports. Des délégations partirent visiter Ojo Caliente et la réserve Mescaleros. Les Mimbrenos plaidèrent pour Ojo Caliente où il restait quelques parcelles libres sur leur ancienne réserve. 78 Chiricahuas décidèrent de rester en Oklahoma sur des lots achetés par le gouvernement aux Comanches et Kiowas. La majorité, soit 183 personnes optèrent pour aller vivre avec les Mescaleros en raison des riches pâturages de leur réserve et de la chaleur de leur accueil. Tous atteints à des degrés divers de la tuberculose et d'un effectif déclinant, les Mescaleros voyaient la perspective de l'arrivée des Chiricahuas comme un renfort permettant d'éviter le démantèlement de leur réserve, d'autant que ces derniers étaient très proches d'eux culturellement et linguistiquement. Finalement, les partisans d'Ojo Caliente optèrent eux aussi pour la réserve Mescaleros.

 

On mit en vente les biens des Chiricahuas : 7000 têtes de bétail, des chariots, du matériel agricole, des clôtures, etc. le produit de la vente fut réparti équitablement entre les 261 Chiricahuas existant, soit 165000 dollars. Cela demanda du temps et bien des tractations, mais pour finir on fit les bagages...

Le 4 avril 1913, Naiche, Asa Daklugie et son épouse Ramona Chihuahua, Eugène Chihuahua, Chato et Kaytenae emmenèrent leur peuple à la gare de Rush Springs où ils étaient arrivés dix ans auparavant. Le train les mena à Tularosa au Nouveau Mexique d'où ils gagnèrent la réserve Mescalero. Ils y furent bien accueillis et s'installèrent à White Tail, 40 kilomètres au nord-est. Beaucoup ne purent retenir leurs larmes en voyant apparaître devant leurs yeux les White Mountains et ses montagnes sacrées. Ils étaient de retour chez eux après 27 ans de prisons et d'exils. Ils laissaient derrière eux bien des tombes où reposaient des êtres chers.

 

Groupe d'hommes chiricahua

 

515 Chiricahuas avaient été déporté dans l'est en 1886. En 1913, il n'en restait que 261, compte tenu des naissances survenues entre temps.

Que dire de plus?

 

Dans un monde nouveau

 

 

Sortis de captivités, les Chiricahuas subirent comme les autres amérindiens des États Unis les errements de la politique gouvernementale. S'ils reçurent en 1924 la nationalité américaine comme les autres indiens, en « récompense de leur patriotisme lors de la Première Guerre Mondiale », ils n'en restaient pas moins des citoyens de seconde privés du droit de voter aux élections du Nouveau-Mexique jusque dans les années 1950!

Ils étaient aussi confrontés à cette fameuse politique consistant à « tuer l'indien pour sauver l'homme ». Mais comme d'autres nations indiennes, ils rusèrent. Ainsi, ils placèrent la danse des Ga'he et la Fête de la Puberté des jeunes filles le 4 juillet, jour de la Fête Nationale Américaine. Ils intériorisèrent aussi leur indianité et pratiquaient ouvertement les cultes étrangers comme ceux de l'église catholique, tout en célébrant en cachette les rites traditionnels ou des cultes syncrétiques comme ceux de la « Native American Church » combinant croyances traditionnelles, apports chrétiens et l'usage rituel d'un champignon hallucinogène, le peyotl.

 

 

Néanmoins, les persécutions religieuses allaient bon train. Les censeurs pourchassaient impitoyablement ceux qui célébraient des cérémonies religieuses, et même les joueurs de cartes. Ceux qui enfreignaient ainsi les lois étaient condamnés à la prison. Pour les prêtres traditionnels, cela pouvait même les amener à être internés dans des hôpitaux psychiatriques.

Ce n'est qu'en 1926 qu'ils obtiendront grâce à des philanthropes et des organisations des droits de l'homme la liberté religieuse. Mais celle-ci allait pendant longtemps demeurer très théorique! Ce n'est qu'à partir des années 1970 qu'elle allait être réellement complète et encore maintenant, les tenants des cultes traditionnels se plaignent d'entraves : sites sacrés placés au milieu de propriétés privées et de parcs nationaux ou profanés par des constructions, tel le télescope du Mont Graham édifié avec le concours financier du Vatican et les plus grandes marques de mépris envers les Apaches professant la religion traditionnelle. Un « scientifique » ouvertement catholique ira jusqu'à dire « les croyances de primitifs ne doivent pas nous empêcher de percer les mystères de l'univers ». Ce n'était pas en 1920, mais en 1988!

 

En 1934, changement d'orientation. Avec John Collier et le New Deal de Franklin Roosevelt, les tribus sont incitées à se munir d'un gouvernement et d'une constitution copiée sur celle des États Unis. En échange, elles retrouvent un peu d'autonomie dans la gestion de leurs propres affaires. Le gouvernement abolit aussi la loi Dawes. Collier sera violemment attaqué par l'aile droite radicale américaine et même des nations indiennes qui comprenaient mal sa politique. Néanmoins, un activiste amérindien dira qu'avant Collier « L'indien était comme un serpent endormi dans un panier fermé. Puis, un homme (Collier) est venu et a entrebâillé le couvercle ».

 

Les Amérindiens étaient alors la population américaine ayant le plus bas niveau de vie, d'éducation et de santé aux États Unis. Mais ils n'étaient plus les « Vanishings Americans ». Leur nombre augmentait même de plus en plus vite grâce à une natalité supérieure à celle de tous les autres américains.

Cela ne les empêchera pas, Chiricahuas compris de participer avec la même énergie qu'ils avaient mis à défendre leur liberté contre les Blancs à tous les conflits impliquant et les États Unis, et au premier rang desquels la Seconde Guerre Mondiale où ils combattront sur tous les champs de bataille terrestre, maritime et aériens. Ils seront aussi présents dans les hôpitaux, les arsenaux, usines et champs. La propagande nazie avait pourtant tenté en vain de les séduire entre 1938 et 1941, sans le moindre succès. Sur les 350000 amérindiens que comptaient alors les États Unis, 44000 s'engageront volontairement dans l'armée

 

C'est peut être en récompense de leur dévouement qu'en 1951 ils recevront en dédommagement de la perte de près de deux millions de kilomètres carrés plus de 16 millions de dollars. Ou peut être que non. En effet cette somme fut à l'époque calculée selon leur valeur au 19ème siècle, soit de dix à vingt cents ou 70 à 80 cents l'hectare selon la nature du sol. En fait, l'intention du gouvernement était en réalité non pas de réparer les fautes du passé, mais de trouver un motif pour se libérer de toutes obligations à l'égard des indiens. Nous sommes en effet entré après 1945 dans l'ère de la « Termination ».

Passé en cachette dans la «Résolution Commune 108 » le 1er août 1953 , sous la présidence d'Einsenhower, la « termination » était la revanche des politiciens réactionnaires contre le « communiste » Collier. C'était aussi pour certains gros intérêts un moyen d'étouffer dans l'œuf toute tentative d'autodétermination des Indiens. La « termination » appliquée à une réserve entraînait la disparition de toute aide fédérale à celle-ci. Les structures de gouvernement tribal étaient dissoutes. Les résidents de la réserve recevaient de l'argent provenant de la vente des propriétés tribales à des intérêts privés : (champs, pâturages, forêts, entreprises, hôpitaux, etc... ). Ces sommes d'argent étaient ensuite réparties entre les membres de la défunte tribu. Ceux ci étaient désormais soumis à l'impôt foncier et étaient livrés à eux même dans la société américaine sans être préparé à la compétition qu'ils allaient devoir y subir pour se faire une place au soleil. Comme par hasard, ce seront certaines des nations indiennes les plus prospères, comme les Menominees de Wisconsin, qui possédaient une scierie, qui en seront les victimes. Le gouvernement ira jusqu'à employer le chantage pour contraindre des indiens à accepter la termination., par exemple en leur coupant l'eau courante et l'électricité1. Toutes les réserves qui subirent cette politique virent leurs membres sombrer dans la grande pauvreté.

Mais les Amérindiens ne se laisseront pas faire. Abandonnant l'arc et la flèche ainsi que le fusil pour une arme bien plus redoutable : le stylo. Même si le niveau scolaire moyen des Amérindiens était le plus faible des Etats Unis, ils n'étaient pas stupides et comptaient dans leurs rangs des hommes et des femmes qui avaient été à l'université et étaient devenus avocats2. Ils engagèrent une longue lutte procédurière pour annuler les « terminations » qui avaient été faite et obtenir l'abandon de cette politique. Ils finirent par obtenir gain de cause en 1970 sous la Présidence de Richard Nixon. Victorieux, ils demeurent cependant très attentifs à tout ce qui pourrait menacer leurs réserves.

 

Fort Sill Apache Tribe

 

 

Comme nous l'avons vu, 78 Chiricahuas décidèrent en 1913 de rester en Oklahoma. Ils reçurent des lots de terres pris sur les Kiowas et les Comanches. Ils n'étaient pas pour le gouvernement américain et l'état d'Oklahoma une tribu à part entière, mais de simples citoyens américains d'origine amérindienne sans droit particulier. Ils étaient cependant liés par des liens familiaux et claniques puissants. Ils n'avaient pas non plus perdu tout contact avec ceux qui étaient partis chez les Mescaleros, modernité des moyens de communication oblige. En dépit de cela, il leur faudra batailler judiciairement jusqu'en 1976 pour être reconnu par l'état fédéral comme une nation indienne à part entière!

 


La première présidente en sera Mildred Cleghorn « Lay-a-bet » (1910-1997), l'une des dernières Chiricahuas à naître sous le statut de prisonnier de guerre.. Enseignante et fabricante de poupées traditionnelles, elle gardera son poste jusqu'en 1995 et se consacrera à la connaissance de l'histoire et des traditions des Apaches Chiricahuas.

Le premier Chiricahuas de Fort Sill à naître libre sera Alan Houser (1914-1994), le sculpteur amérindien le plus renommé du 20ème siècle. Ses fils, Bob et Philip Haozous ont pris sa succession.

 


Le centre administratif de la tribu se trouve dans la bien nommé localité d'Apache (1616 habitants en 2000). Elle compte 630 membres, dont 300 vivent en Oklahoma. Ils possèdent en commun la « Fort Sill Apache Industries » et le « Fort Sill Apache Casino », sis à Lawton (Oklahoma). Les revenus tribaux se montaient en 2008 à plus de 10 millions de dollars. Les Chiricahuas ont établis leur propre programme de protection de l'environnement en luttant contre les décharges sauvages, en favorisant le recyclage, l'épuration des eaux usées et l'éducation du public sur les questions environnementales.

Il y a peu, un donateur privé anonyme leur a offert 200 ares de terres dans le comté de Cochise en Arizona. Elles ont été proclamée « terres sacrées » par les Apaches de Fort Sill.

 

 

Mescalero Apache Reservation

 

Les Mescaleros recevront une réserve en 1873, mais ce n'est qu'en 1883 qu'elle sera établie dans le Comté d'Otero au Nouveau Mexique. Ses 3156 habitants (2000) se partagent une surface de près de deux mille kilomètres carrés.

Ce n'est pas une terre désolée. Elle abrite en effet de grands pâturages et des montagnes couvertes de forêt de pins. D'où deux des ressources principales de la réserve : l'élevage bovin et le tourisme (sports d'hiver, escalade, pêche à la truite,chasse au gros gibier, etc...). Et il y a bien sûr l'inévitable casino.

 

Les habitants de la réserve veillent cependant avec soin à la préservation de leur environnement naturel.

Il y a sur la réserve deux musées consacrés à l'histoire des Apaches. Celle-ci comprend dans ses limites la Sierra Blanca qui est un lieu sacré pour tous les Apaches. L'église catholique de la mission Saint-Joseph est remarquable par ses fresques dépeignant tous les personnages de la Bible sous les traits d'Apaches vêtus de façon traditionnelle, Christ compris. Et les Ga'hes dansent sur l'autel! Elle date des années 1930 et commémore le souvenir des Mescaleros, Chiricahuas et Lipans tués durant la Seconde Guerre Mondiale.

 


Nous avons vu que les Mescaleros ont reçus à bras ouverts les Chiricahuas en 1913. Ils étaient en effet en piteux état! Tous les Mescaleros étaient à des degrés divers atteints de la tuberculose et leur nombre déclinait d'années en années. Comme je l'ai déjà dit, ils avaient en plus la crainte de voir leur réserve démantelée avec la loi Dawes. Et Chiricahuas et Mescaleros étaient très proches sur de nombreux points, notamment linguistiques.

Lors de la réforme de Collier, Mescaleros, Chiricahuas et Lipans se regroupèrent administrativement sous la dénomination de « Mescaleros ». Cela n'abolissait pas les distinctions tribales et claniques sur la réserve, mais leur permit de créer un gouvernement tribal dirigé par un président et un conseil de huit membres pour un mandat de deux ans. Cette fonction sera occupée par Wendell Chino durant quarante-trois, de 1955 à sa mort le 4 novembre 1998! L'actuel président est depuis 2008 Carleton Naiche-Palmer.

Les pompiers de la réserve Mescaleros sont renommés à travers tout l'Ouest des Etats Unis pour leur bravoure et leur grande expérience des feux de forêts. Celle-ci les fit appeler pour combattre de redoutables incendies jusqu'en Californie.

 

Les Mescaleros de la réserve du Nouveau-Mexique sont au nombre de plus de 3000, dont bon nombre avec une ascendance Chiricahuas. Ces dernières décennies, ils ont abandonné les localités les plus isolées, comme White Tail  pour se concentrer autour de Mescalero, centre administratif et économique de la réserve.

Si beaucoup de traits de la culture Apache subsistent, il ne faut pas y espérer y rencontrer les Apaches de 1850, mais plutôt ceux de 2010. Changements et continuités, ainsi va la vie! Les tenues traditionnelles sont très peu portées, sauf lors des cérémonies. Les femmes portent alors des tenues conformes à ce que les femmes Apaches portaient dans les années 1875-1900. Les hommes sont le plus souvent en tenue de cow-boys. Seuls quelques uns portent les fameux mocassins Apaches lors de fêtes.

 

La langue Apache est en déclin dans sa pratique quotidienne. Ce sont surtout des gens plutôt âge qui la parlent. Cette désaffection vient de l'influence exercée par la culture dominante environnante anglo-saxonne. Les jeunes Apaches, tout comme les jeunes français, écoutent beaucoup de rap, de hip hop, de rock ou d'électro, quand ils n'en jouent pas eux mêmes. Toutefois, après avoir considéré cet abandon de la langue Apache comme un atout et un facteur d'intégration, une réaction s'amorce chez les Mescaleros-Chiricahuas-Lipans comme chez bien d'autres peuples amérindiens : on tente d'enseigner cette langue aux plus jeunes en espérant qu'ils la communiqueront à leurs enfants en présentant le multilinguisme comme un atout et surtout un moyen de protéger l'héritage culturel des peuples Apaches.

 


 

En 2010, un jeune Chiricahua de quinze ans de la réserve Mescalero fut auditionné par le Congrès des États Unis. Il parla du suicide des jeunes amérindiens, dont le taux est particulièrement élevé, pour demander des fonds destiné à édifier des structures de prévention et de soins. Le Congrès attendit son appel. Ce jeune homme se nommait Coloradas Mangas.

De Mangas Coloradas à Coloradas Mangas!

 

Une conclusion... provisoire!

 

 

On a coutume de penser que seule l'histoire des grandes nations mérite d'être étudié. Les Chiricahuas et les autres Apaches prouvent le contraire. Parallèlement aux Kiowas et aux Comanches, ils ont bloqué l'expansion espagnole, puis mexicaine. Ils ont ensuite entravé pendant des décennies la colonisation anglo-saxonne du sud-ouest, ce qui a eu d'importantes conséquences culturelles et politiques, notamment en empêchant une expansion américaine plus grande en terre mexicaine.

Par leur résistance aux tentatives d'extermination des uns et d'ethnocide des autres, les Chiricahuas et les autres Apaches ont montré qu'il était possible à un peuple aux effectifs réduits de résister à des nations bien plus puissantes et organisés qu'eux. Ils en ont certes payés le prix! On peut estimer qu'entre 1850 et 1910, ils ont perdus en moyenne 80% de leurs effectifs du fait des épidémies, des famines, des massacres, des combats et des suicides.

 

Celle-ci a marqué l'histoire mexicaine et américaine. Ironie de l'histoire, les leçons de la lutte contre les Chiricahuas sont revisités de nos jours par les stratèges du Pentagone, la situation à la frontière Afghano-pakistanaise n'étant pas sans ressemblance avec celle de la frontière américano-mexicaine dans les années 1876-1886. D'autres encore évoquent le spectre de petits groupes islamiques armées pénétrant dans le territoire américain à partir du Mexique en suivant les pistes suivies par Cochise, Victorio et Nana!

Mais ceci n'est qu'une conclusion tout a fait provisoire. Non seulement l'histoire des Chiricahuas continue, mais ils nous reste en plus à parler de :



Ceux qui ne se sont jamais rendus : les Broncos Apaches

 

Et je vous quitte sur un extrait d'une émission sur les femmes soldats. L'une de celles-ci est consacré à Lozen. Les femmes Apaches ont en effet joué un grand rôle dans l'histoire de leur peuple et la survie culturelle de leur peuple. C'est hélas en anglais, mais qui sait, peut être verra t-on un jour cette série d'émission sur Planète, la Chaîne Histoire ou Arte!

 

 

1Pour celles qui disposaient évidemment de l'eau courante et de l'électricité!

2La Seconde Guerre Mondiale jouera un rôle immense en faisant découvrir aux Amérindiens d'autres pays et d'autres relations avec les non-Indiens que celles qu'ils connaissaient chez eux. Par ailleurs, les anciens combattants avaient droit à des bourses pour effectuer des études universitaires.



09/06/2010
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